La recherche de l'efficacité dans le monde occidental passe par la quête
    de l'excellence. En Chine, plus que l'excellence, il faut rechercher
  la bonne combinaison des facteurs. Au cours de sa longue histoire
        avec la Chine, AEC a développé trois métiers.
   
 
Le conseil stratégique
Les relations économiques avec la Chine ont dépassé depuis longtemps les actes élémentaires d’y vendre ou d’y acheter. Investir en Chine devient indispensable pour toutes les sociétés multinationales.  Mais les obstacles sont nombreux : en Chine, dire qu’on va investir des milliards de dollars ne suffit pas qu’on déploie le tapis rouge. AEC combine toutes les facettes de son savoir-faire pour conseiller ses clients et les aider à mettre au point des stratégies gagnantes :

»  La connaissance : AEC, par ses ressources internes et par la richesse de son réseau, possède une connaissance approfondie des circuits de décision chinois, en faisant la différence entre le politique et l’administratif, l’absolu et le relatif, l’impératif et le négociable.

»  L’anticipation : cette connaissance permet d’anticiper les problèmes qui risquent de se poser et de se préparer à les affronter. Souvent, contourner l’obstacle est plus efficace que l’attaquer de face. Il faut savoir trouver les moyens de contournement.

»  Le lobbying : quand l’analyse lucide des forces et des faiblesses a été faite, elle permet de repérer les points forts et les points faibles du dossier. Le lobbying est l’art de mettre en valeur les premiers et gommer les seconds. Pour cela, il ne faut pas seulement convaincre une ou deux personnes mais tout le système. AEC possède cette expérience unique.
 
La représentation commerciale
AEC développe l’art de vendre et de négocier en Chine : commencer par analyser l’offre qu’on veut faire, trouver les bonnes cibles, monter la stratégie commerciale adapatée, trouver les arguments appropriés avant d’engager la négociation. Pour paraphraser le stratège Sunzi : une bonne négociation est celle qui est gagnée avant même d’être engagée.
 
Le sourcing
On ne doit pas seulement savoir vendre à la Chine, il faut savoir y acheter. L’art du sourcing se compose de milliers de contradictions. Il faut assurer la qualité indispensable tout en maintenant la pression à la baisse sur les prix, savoir être menaçant envers le fournisseur tout en gardant sa confiance, lui demander toujours plus d’effort mais conserver en lui le désir de continuer à travailler pour nous. C’est de la résolution de ces contradictions que surgit le but recherché par tous : le win-win.
   
   
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